Con solo 14 años, esta madrileña compaginaba sus estudios con el baile, tanto moderno como funk, y con clases particulares de canto. Solo cuando estaba en la universidad se dio cuenta de que lo suyo era la interpretación. Pronto empezó a trabajar, y así la vimos en 'Hospital Central', 'El internado' o 'Amar en tiempos revueltos'. Durante 185 episodios fue la sufrida y malograda Chelito del serial de TVE. Hoy, dos años después, ha ganado el Goya a la Mejor Actriz Revelación con su primer filme, la versión poética y muy española de 'Blancanieves'. Nos tomamos un café con ella para repasar su trayectoria y pulsar sus expectativas.
¿A quién le dedicas el ‘cabezón’?
El Goya es para mi hermano [Javier Ambrossi, que toma el apellido de la madre]. Es un actorazo, además de periodista, y fue él quien me buscó mi primer papel como protagonista en el musical 'High School Musical', con Daniel Diges.
Ser actriz ha sido siempre tu sueño.
¡Sí! Desde pequeña he hecho gimnasia artística, he dado clases de canto y de baile y hasta he aprendido a tocar la guitarra, pero nunca lo hice pensando en actuar profesionalmente. Siempre participaba en las obras del colegio y me presenté al casting del musical 'En el nombre de la infanta Carlota' y actué allí durante un tiempo, pero luego seguí estudiando. Era lo que tocaba en ese momento.
Empezaste Psicología… Sí, ¡pero hice solo un curso!
CON LA MEJOR MADRASTRA
Y has acabado con un premio Goya.
¡Ya ves! El personaje de Carmen [la protagonista de la película de Pablo Berger] es una mujer sensible y muy valiente. ¡Yo no hubiera sido capaz de ponerme delante de un toro, como ella! Y encima su madrastra era Maribel Verdú… Ha sido un gustazo trabajar con ella.
LA RESPONSABILIDAD DEL PREMIO
Tienes un nuevo filme…
Sí, hago un papel en 'Todos están muertos', de Beatriz Sanchís . Pero me da mucho miedo pensar si estaré a la altura del Goya o no.
LUCHARÁ POR NACHO EN 'LUNA'
¿En 'Luna, el misterio de Calenda', Vera va a seguir con su amor apasionado por Nacho (Fran Perea)?
¡Incluso más! Él le dice que no la quiere y ella no entiende cómo puede pasar esa tragedia. Y con esa desesperación propia de un rechazo, va a luchar por su amor más que nunca.
GUARDA ESPECIAL CARIÑO A CHELITO
¿Qué recuerdos guardas de 'Amar en tiempos revueltos'?
Chelito era un papel precioso, lleno de matices, al que tengo especial cariño. Y además hice muy buenos compañeros; Nadia de Santiago, por ejemplo, es una de mis mejores amigas.
DE MADRE EN 'NIÑOS ROBADOS'
Con ella trabajas en 'Niños robados', la miniserie que emitirá Telecinco y en la que das vida a una madre sufridora.
Sí, es un tema que he vivido con impotencia porque soy muy niñera. Me asesoré con un coach y supe cómo quería interpretar ese papel.
SUS OCHO AMIGAS DEL COLEGIO
Hablando de amistad, ¿mantienes a los amigos de la infancia?
¡Claro! Entre mis mejores amigas hay ocho chicas del colegio Monte Alto [en Madrid]. Juntas nos vamos de discoteca los fines de semana, a bailar canciones de pop rock, que son las que me gustan.
DISFRUTA CON LAS COMEDIAS PERO PREFIERE HACER DRAMAS
¿Qué otras aficiones tienes?
Ir al cine. El otro día vi 'Django' y me encantó. Pero también disfruto con las comedias románticas –he visto 'Pretty Woman' una y otra vez– aunque como actriz prefiero el drama.
SUFRIDORA DEL ATLETI
Eres del Atlético de Madrid, ¿no?
Es una pasión que viene de cuando acompañaba a mi padre a ver los partidos, ¡pero yo llevo dos años sin hacer ejercicio!
TEST CAFETERO
¿Te gusta el café? Prefiero zumo de naranja o un colacao. Mi madre me regaña porque desayuno muy deprisa.
Lo tomarías con… Verónica Echegui. No la conozco pero me parece tan lista e interesante…
¿Con qué lo asocias? Con mi casa, aunque ahora vivimos mi madre y yo solitas.
2013, cafelito y… Amor, en todos los sentidos. ¡Que viva el amor! Es lo importante.
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LA GRAN REVELATION
A seulement 14 ans, cette madrilène partageait ses études avec la danse, aussi bien moderne que funk et avec des cours de chant particuliers. C’est seulement quand elle était à l’université, qu’elle s’est rendu compte que son truc c’était l’interprétation. Très vite, elle a commencé à travailler, et c’est ainsi que nous l’avons vu dans 'Hospital Central', 'El internado' ou 'Amar en tiempos revueltos'. Durant 185 épisodes, elle fut la malheureuse et résignée Chelito dans le feuilleton de TVE. Aujourd’hui, deux ans après, elle a gagné le Goya de la Meilleure Actrice Révélation avec son premier film, la version poétique et très espagnole de 'Blancanieves'. Nous avons pris un café avec elle pour faire le point sur sa carrière et appuyer sur ses attentes.
''LE GOYA EST POUR MON FRERE''
A qui dédis-tu le Goya?
Le Goya c’est pour mon frère [Javier Ambrossi, qui a pris le nom de la mère]. C’est un très grand acteur, en plus d’être journaliste, et c’est lui qui m’a trouvé mon premier rôle comme protagoniste dans le musical 'High School Musical', avec Daniel Diges.
J’AI CHANTE ET DANSER AVEC DANI DIGES DANS 'HIGH SCHOOL MUSICAL'
Etre actrice à toujours été ton rêve.
Oui! Depuis petite, j’ai fait de la gymnastique artistique, j’ai donné des cours de chant et de danse et j’ai même appris à toucher la guitare, mais je ne l’ai jamais fait en pensant jouer professionnellement. J’ai toujours participé aux œuvres de l’école et je me suis présenté au casting du musical 'En el nombre de la infanta Carlota' y j’ai joué là-bas un moment, mais après j’ai continué à étudier. C’était ce que je devais faire à ce moment là.
Tu as commencé Psychologie … Oui, mais j’ai seulement fait une année !
AVEC LA MEILLEURE BELLE-MERE
Et tu as terminé avec un premier Goya
Tu vois! Le personnage de Carmen [la protagoniste du film de Pablo Berger] est une femme sensible et très courageyse. Moi, je n’aurai pas été capable de me mettre devant un taureau, comme elle ! Et en plus sa belle-mère est Maribel Verdú… Ca a été un énorme plaisir de travailler avec elle.
LA RESPONSABILITE DU PRIX
Tu as un nouveau film…
Oui, je joue un rôle dans 'Todos están muertos', de Beatriz Sanchís . Mais ça me fait peur de penser à si je serai à la hauteur du Goya ou pas
ELLE SE BATTRA POUR NACHO DANS 'LUNA'
Dans 'Luna, el misterio de Calenda', Vera va suivre avec son amour passionné pour Nacho (Fran Perea)? Encore plus! Lui, lui dit qu’il ne l’aime plus et elle, elle ne comprend pas comment cette tragédie peut se passer. Et avec ce propre désespoir de rejet, elle va plus que jamais se battre pour son amour.
ELLE GARDE UNE TENDRESSE PARTICULIERE POUR CHELITO
Quels souvenirs gardent-tu de 'Amar en tiempos revueltos'?
Chelito était un rôle magnifique, pleins de nuances, pour lequel j’ai une tendresse particulière. Et en plus de ça, je me suis fait de très bons camarades; Nadia de Santiago, par exemple, est une de mes meilleures amies.
MERE DANS 'NIÑOS ROBADOS'
Tu travailles avec elle dans 'Niños robados', la miniserie que diffusera Telecinco et dans laquelle tu donnes vie à une mère résigné.
Oui, c’est un sujet que j’ai vécu avec impuissance parce que j’aime énormément les enfants. J’ai pris conseil d’un coach et j’ai su comment je voulais interprété ce rôle.
SES HUIT AMIES DU COLLEGE
En parlant d’amitié, tu as gardé des amis d’enfance ?
Bien sûr! Parmi mes meilleures amies, il y a huit filles du Monte Alto [à Madrid]. Ensemble, nous allons en discothèque les week-end, danser sur des chansons pop rock, qui sont celles qui me plaisent.
ELLE S’AMUSE AVEC LES COMEDIES MAIS ELLE PREFERE JOUER DES DRAMES
Quels sont tes autres penchants ?
Aller au cinéma. L’autre jour, j’ai vu 'Django' et j’ai adoré. Mais j’apprécie aussi les comédies romantiques – j’ai vu 'Pretty Woman' à maintes reprises –bien qu’en tant qu’actrice je préfère le drame.
SUPPORTER DE L’ATLETI
Tu es pour l’Atlético de Madrid, non? C’est une passion qui vient de quand j’accompagnais mon père voir les matchs. Mais là ça fait deux ans que je ne fais pas d’excercice !
TEST CAFE
¿Te gusta el café? Je préfère le jus d’orange ou un chocolat au lait. Ma mère me réprimande car je déjeune vite
Tu le prendrais avec… Verónica Echegui. Je ne la connais pas mais elle me semble très intelligente et intéressante …
A quoi l’associes-tu? A ma maison, bien que maintenant ma mère et moi vivions toutes seules.
2013, un petit café et … Amour, dans tous les sens. Que vive l’amour ! C’est ce qui est important.
