2013, año de revelaciones: primero por el Goya y ahora sobre las tablas, donde Dios se le aparece cada noche. ¿Qué le pasa a María, la ‘prota’ de la llamada?
¡Que ve a Dios cuando le canta canciones de Whitney Houston! (risas) y eso hace que todo lo que creía ser se tambalée.
¿Cómo se lleva trabajar bajo las órdenes de su hermano (Javier Ambrossí)?
¡Jo, pues es un gusto, de verdad! Él ha sido una especie de ‘coach’ para mí. Siempre me ha ayudado a preparar todas las pruebas y a superar los miedos. Es un gusto trabajar tanto con él como con Javier Calvo. Además, yo en los ensayos suelo estar bastante insegura porque siempre creo que los directores me van a echar, que estoy haciendo un desastre, y con ellos he estado tranquila por primera vez.
”La llamada” mezcla ingredientes como la fe cristiana, Whitney Houston o el ‘electro-latino’. ¿A qué sabe este cocktail?
Me recuerda a “Blancanieves” por la locura: España, años 20, muda, toreros... pero al final todo fluye y encaja. Aquí pasa lo mismo: un campamento cristiano, niñas que tienen un grupo de reggaeton...
Antes de ser actriz, había encaminado su trayectoria hacia la danza o la psicología. ¿Qué pasó para cambiar de rumbo?
A mí me encantaba cantar y bailar, pero comencé la carrera, quería ser psicóloga de niños y fue cuando mi hermano empezó a hablarme de castings de musicales. Yo trabajaba cuidando a una niña, así que vi la película de “High School Musical”, de la cual hacían un casting, y sentí que tenía que presentarme. Me cogieron y empecé a trabajar ahí de una forma alocada, sin saber lo que quería, por vivir la experiencia, pero me di cuenta de que en cada función disfrutaba más, que quería aprender cosas nuevas, así que comencé a hacer castings, series… ¡y hasta ahora!
Podríamos decir que ha alcanzado la gloria con “Blancanieves”. Aparte del Goya, ¿Qué le ha dado este papel?
Más ganas de ser una buena actriz y las cosas más bonitas de mi vida. Me ha dado por momentos seguridad, pero también inseguridad porque a veces pienso ‘me han dado este Goya, a lo mejor es que valgo, ¿no? y voy bien encaminada’ pero otras veces pienso ‘qué van a esperar de mi, si no estoy a la altura y no me lo merezco’... ¡Hay momentos de todo! (risas).
¿Quiénes son sus referentes?
Anoche vi a Candela Peña en “Ayer no termina nunca” y me pareció increíble ella, me llegó al alma. Verónica Echegui, Elena Anaya, Penélope Cruz...
¿Le gustaría seguir los pasos de Penélope?
Sí por vivir la experiencia, pero lo que me apetece es hacer proyectos que me emocionen, ya sea en Madrid, en Nueva York o en Kenia (risas).
Sabemos cómo canta, pero además toca la guitarra. ¿Le gustaría probar en el mundo de la música?
No, no, no... ¡La guitarra sí que se me da mal, ¿eh?! (risas). Di unas cuantas clases pero ya se me ha olvidado y me encanta la música, bailar, cantar... pero por mi casa. Eso sí, si puedo hacerlo en una obra como ésta, que es un musical, un placer.
¿Qué siente cuando la definen como ‘la mirada del cine español’?
¡Me hace mucha ilusión! Pero no siento que lo merezca.
Un sueño profesional...
Hacer papeles que me emocionen y ser una gran actriz.
No cumplirá los 30 sin antes haber...
Viajado una temporada larga, aprendido inglés, conocido gente.
No se cansa de ver la película...
¡“Titanic”! (risas).
Una canción única:
“Sunrise” de Nora Jones.
Se siente orgullosa de...
Mi hermano. Y de mi padre y mi madre.
Su talón de Aquiles es...
Crear personajes muy diferentes a mí. En la peli que acabo de rodar hacía de bacala y creo que he empezado a dar pasos, pero es algo que me cuesta un poquito más.
Además de en “La llamada”, ¿dónde podemos verla este año?
En la película “Todos están muertos” de Beatriz Sanchis y en “Niños robados”, una ‘TV Movie‘ dirigida por Salvador Calvo.
Nous parlons avec la femme du moment. Le Goya de la Meilleure Actrice Révélation de cette année et un sourire capable d'inonder de lumière tout une scène ont permis de lancer la carrière de la jeune protagoniste de 'Blancanieves'. Et du grand écran aux planches. Le Téâtre Lara accueuille 'La llamade' un chant au premier amour sous forme de comédie musicale écrite et dirigé par Javier Ambrossi et Javier Calvo que Macarena joue aux côtés de Llum Barrera, Andrea Ros, Belén Cuesta et Richard Collins-Moore.
2013, années de révélations : d'abord pour le Goya et maintenant sur les planches, où Dieu vous apparaît chaque nuit. Qu'arrive t-il à Maria, la protagoniste de la llamada ?
Qu'elle voit Dieu quand elle chante des chansons de Whitney Houston! (rires) et cela fait que tout ce qu'elle croyait être vacillent .
Comment s'est de travailler sous les ordres de son frère (Javier Ambrossí)?
Jo, eh bien c'est un plaisir, vraiment! Il a été une sorte de ‘coach’ pour moi. Il m'a toujours aider à préparer les essais et à surmonter les peurs. C'est un plaisir de travailler tant avec lui qu'avec Javier Calvo. De plus, moi lors des répétitions j'ai l'habitude d'être assez anxieuse car je crois toujours que les réalisateurs vont me renvoyer, que ce que je fais est une castastophe, et avec eux, j'ai été rassuré pour la première fois.
”La llamada” mélange les ingrédients comme la foi chétienne, Whitney Houston ou l' ‘electro-latino’. Quel goût à ce coktail ?
Il me rappelle “Blancanieves” pour la folie locura: Espagne, année 20, muet, toréro... pero au final tout coule et s'emboîte. Ici il se passe la même chose: un camp chrétien, des filles qui ont un groupe de reggaeton...
Avant d'être actrice, tu te dirigeais vers la danse ou la psychologie. Qu'est ce qui s'est passé pour changer de direction?
Moi j'adorais chanter et danser, mais j'ai commencé la carrière, Je voulais être psychologue pour enfant, et c'est à ce moment que mon frère a commencé à me parler de castings de comédies musicales. Moi je travaillais en m'occupant d'une petite, alors j'ai vu le film “High School Musical”, de laquelle ils faisaient un casting et j'ai senti que je devais me présenter. Ils m'ont pris et j'ai commencé à travailler là d'une forme irréfléchie, sans savoir ce que je voulais, pour vivre l'expérience, mais je me suis rendu compte qu'à chaque représentation je m'amusais plus, que je voulais apprendre de nouvelles choses, alors j'ai commencé à faire des castings, séries...et jusque là!
On pourrait dire que vous avez atteint la gloire avec 'Blancanieves. A part le Goya, que vous as apporté ce rôle ?
Encore plus envie d'être une bonne actrice et le choses les plus belles de ma vie. Ca m'a donné par moment de la confiance, mais aussi un manque de confiance car par moment je me dis 'ils m'ont donné ce Goya, peut être que je vaut quelque chose, non ? et je suis sur la bonne voie' mais d'autres fois je pense 'qu'est ce qu'ils vont attendre de moi, si je ne suis pas à la hauteur et je ne le mérites pas'...Il y a des moments de tout! (rires).
Qui sont vos modèles?
Hier soir, j'ai vu Candela Peña dans “Ayer no termina nunca” et elle m'a parût incroavle, elle y me pareció increíble ella, elle m'a émie. Verónica Echegui, Elena Anaya, Penélope Cruz...
Vous aimeriez suivre les pas de Penélope?
Oui pour vivre l'expérience, mais ce qui me plait c'est faire des projets qui me touchent, que ce soit à Madrid, à New York ou au Kenya (rires).
Nous savons comment tu chantes, mais en plus tu joues de la guitare. Vous aimeriez essayez dans le monde de la musique ?
Non, non, non... ¡La guitare qui me donne du mal, eh?! (risas). J'ai donné quelques cours mais j'ai oublié et j'aime la musique, danser, chanter...mais à la maison. Ca oui, si je peux le faire dans une oeuvre comme celle là, qui est un musical, un plaisir.
Que ressentez-vous quand on vous définie comme ‘le regard du cinéma espagnol’?
Ca me fait énormément plaisir! Mais je ne sens pas que je le mérite.
Un rêve professionnel...
Jouer des rôles qui me touchent et être une grande actrice.
Vous n'aurez pas 30 ans sans avant avoir...
Voyager une longue saison, appris l'anglais, connu des gens.
Voys ne vous lassez pas de voir le film...
“Titanic”! (rires).
Une chanson unique:
“Sunrise” de Nora Jones.
Vous être fier de...
Mon frère. Et de mon père et ma mère.
Votre talon d'Achille c'est...
Créer des personnages très différents de moi. Dans le film que je viens de tourner, je jouais une bacala et je crois que j'ai commencé à faire mes pas, mais c'est quelque chose avec lequel j'ai encore un peu de mal.
En plus de “La llamada”, où pouvons nous vous voir cette année ?
Dans le film “Todos están muertos” de Beatriz Sanchis et dans “Niños robados”, un téléfilm réalisé par Salvador Calvo.
Traduction entièrement faite par le staff de MacarenaGarciaWeb.
Merci de créditer avec LIEN si vous la poster ailleurs.
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