martes, 19 de marzo de 2013

Entrevista de Macarena para ElPeriódico.com «Mi sueño era interpretar una historia de amor» ♦ Interview de Macarena pour ElPeriódico.com «Mon rêve était d’interpréter une histoire d’amour»

 


Macarena García (Madrid, 1988), la Vera de Luna, el misterio de Calenda, acaba de recibir el Goya como mejor actriz revelación por Blancanieves, papel que también le reportó la Concha de Plata en el Festival de San Sebastián. Antes ya había despuntado en producciones televisivas como El internado, Punta Escarlata y Amar en tiempos revueltos.

Le dedicó el Goya a su hermano. Le dijo: «Estoy aquí gracias a ti». Explíquese.
Él era actor antes que yo y me inculcó la pasión por la interpretación. Fue él quien me habló del casting de Blancanieves. Y me ha ayudado a preparar muchísimos personajes hasta las mil de la mañana.

En una gala de los Goya tan marcada por las reivindicaciones sociales, su discurso solo fue de agradecimiento. 
Cada uno tiene que hacer lo que quiera, y entiendo que hubiera gente que pensara que tenía que defender ciertas cosas. A mí, personalmente, era la primera vez que estaba ahí y me apetecía disfrutarlo y compartirlo con la gente que quiero.

¿Piensa seguir compaginando cine y televisión después del Goya?
Lo que quiero hacer es proyectos en los que confíe y me emocionen. Ahora me apetece hacer cine, pero también me encanta la televisión. No noto muchas diferencias.

En televisión todo es más rápido.
Sí, pero como tuvimos tan poco tiempo para hacer Blancanieves... Hice miles de planos en un día y la mayoría de las escenas fueron a la primera toma. Al final trabajé más rápido que en una serie. Lo que sí es más cómodo en el cine es que tienes un personaje cerrado, con un principio y un final, mientras que en la tele vas averiguando qué va a pasar a medida que pasa el tiempo.

¿Y qué va a pasar con Vera en Luna...? En esta segunda temporada no se le presenta una situación fácil tras la aparición por sorpresa de su padre biológico.
Su llegada va a traer muchos conflictos familiares y eso hace que las relaciones con su madre y con su padre adoptivo sean muy fuertes. Igual pasa con su pandilla de amigos, que estarán más unidos que nunca. En esta temporada, todas las relaciones están más consolidadas.

¿Y su relación con Nacho (Fran Perea) seguirá adelante a pesar de todas las trabas?
Vera seguirá intentando que su amor funcione, aunque tengan esa relación de tira y afloja. Cuando leí el guion me sentí muy afortunada porque siempre soñé con interpretar una historia de amor así y soy súper fan de películas como Love actually o Notting Hill. Hay escenas de Nacho y Vera que creo que serán las más bonitas que voy a hacer nunca.

¿En qué se parece a Vera?
Soy bastante romántica y apasionada y creo que, como ella, tengo relaciones fuertes con mi familia y mis amigos. Pero no soy tan alocada y cabezota.

¿Qué ha aprendido de ella? 
Ha sido un personaje diferente a los que había hecho y he estado rodeada de grandes actores de los que he aprendido mucho.

¿Era tan diferente de la Chelo de Amar en tiempos revueltos que ese fue el detonante para dejar la serie? 
Me fui de Amar... porque decidí que llevaba mucho tiempo allí. Me salieron otros proyectos y me iba bien el cambio.

¿No le dio pena que mataran a Chelo en Amar...?
¡Muchísimo! Cuando me lo dijo el director sentí como si me pasara a mí. Me puse a llorar mucho. Pero creo que los guionistas saben por qué lo hacen.

Empezó haciendo teatro musical con High School Musical, que protagonizó con Daniel Diges, finalista de Tu cara me suena. ¿No iría a un programa de ese tipo? Porque sería la concursante perfecta: sabe cantar, bailar e interpretar. 
Me encanta cantar y he hecho musicales, pero no soy cantante. Tampoco es lo que me gusta. Cantaría en un papel, pero no en un concurso.

Ese show tiene mucha parte cómica. ¿Le falta explotar esa faceta?
Es que me veo más en papeles dramáticos. Me gustaría hacer comedia, pero no sé si sería capaz.

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Macarena García (Madrid, 1988), la Vera de Luna, el misterio de Calenda, vient de recevoir le Goya de la meilleur actrice révélation pour Blancanieves, rôle qui lui a aussi rapporter la ‘Concha de Plata’ au Festival de San Sebastián. Auparavant, elle avait excellé dans des productions télévisées comme El Internado, Punta Escarlata et Amar en tiempos revueltos.

Vous avez dédié le Goya à votre frère. Vous lui avez dit «Je suis là grâce à toi ». Expliquez vous. 
Lui était acteur avant moi et il m’a inculqué la passion pour l’interprétation. C’est lui qui m’a parlé du casting de Blancanieves. Et il m’a aidé à préparer énormément de personnages jusqu’au matin.

Lors d’un gala des Goya aussi marqué par les revendications sociales, votre discours a été seulement de remerciement. 
Chacun doit faire ce qu’il veut, et je comprend qu’il y avait des gens qui penseraient que je devait défendre certaines choses. Moi, personnellement, c’était la première fois que j’étais là et j’avais envie d’en profiter et de le partager avec les gens que j’aime.

Vous pensez continuer à combiner cinéma et télévision après le Goya ? 
Ce que je veux faire c’est des projets dont j’ai confiance et qui m’exite. Maintenant, j’ai envie de faire du cinéma, mais aussi j’adore la télévision. Je ne note pas beaucoup de différences.

A la télévision, tout est plus rapide. 
Oui, mais comme nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour faire Blancanieves…J’ai fait des milliers de plans en un jour et la majorité des scènes étaient à la première prise. Au final, j’ai travaillé plus vite que dans une série. Ce qui est, oui, plus pratique au cinéma est que tu as un personnage fermé, avec un début et une fin, tandis qu’à la télé tu découvres ce qu’il va se passer à mesure que le temps passe.

Et qu’est ce qu’il avec se passer avec Vera dans Luna… ? 
Dans cette saison 2, ne se présente pas une situation facile après l’apparition par surprise de votre père biologique. Son arrivée va amener plusieurs conflits familiaux et cela fait que les relations avec son père et son père adoptif vont être très fortes. De même, cela va se passer avec sa bande d’amis, qui seront plus unis que jamais. Dans cette saison, toutes les relations sont plus consolidées.

Et votre relation avec Nacho (Fran Perea) ira de l’avant malgré tous les obstacles ? 
Vera continuera d’essayer que sa relation fonctionne, bien qu’ils aient cette relation de tiraillements. Quand j’ai lu le scénario, je me suis sentie très chanceuse car j’ai toujours rêvé d’interprété une histoire d’amour comme ça et je suis super fan de films comme Love actually ou Notting Hill. Il y a des scènes de Nacho et Vera qui je crois seront les plus belles que je ne ferai jamais.

En quoi ressemblez vous à Vera ? 
Je suis assez romantique et passionnée et je crois que, comme elle, j’ai des relations très fortes avec ma famille et mes amis. Mais je ne suis pas si étourdie et têtue.

Qu’avez-vous appris d’elle ? 
Ca a été un personnage différents de ce que j’avais fait et j’ai été entouré de grands acteurs desquels j’ai énormément appris.

C’était si différents de la Chelo de Amar en tiempos revueltos que cela a été le déclencheur pour quitter la série ? 
Je suis partie de Amar…car j’ai décidé que ça faisait longtemps que j’étais là. On m’a proposé d’autres projets et le changement m’allait bien.

Ca ne vous as pas fait de peine qu’ils tuent Chelo dans Amar… ?
 Enormément ! Quand le réalisateur me l’as dit, je l’ai ressenti comme si ça m’arrivait à moi. Je me suis mise à pleurer énormément. Mais je crois que les scénaristes savent pourquoi ils le font.

Vous avez commencé en faisant du théâtre musical avec High School Musical, que vous avez joué avec Daniel Diges, finaliste de Tu cara me suena. Vous n’iriez pas à une émission de ce genre ? Parce que vous seriez la concurrente parfaite : vous savez chanter, danser et interpréter. 
J’adore chanter et j’ai fait des comédies musicales, mais je ne suis pas chanteuse. Ce n’est pas non plus ce qui me plait. Chanter dans un rôle, mais pas dans un concours.

Ce show a beaucoup de parts comiques Il vous reste à explorer cette facette ? 
C’est que je me vois plus dans des rôles dramatiques. J’aimerai faire de la comédie, mais je ne sais pas si j’en serais capable.

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